Le remède souverain et l’instrument tout puissant de la guérison du monde entier est l’union de ses peuples en une Cause universelle, une seule et même Foi : voilà ce qu’ordonne le Seigneur. Rien ne peut réaliser cela, sauf le pouvoir d’un médecin habile, tout puissant et inspiré. Voilà la seule vérité, tout le reste n’est qu’erreur.

Bahá’u’lláh

وَالَّذِي جَعَلَهُ اللهُ الدِّرْیَاقَ الْأَعْظَمِ والسَّبَبَ الْأَتَمِّ لِصِحَّتِهِ هُوَ اتِّحَادُ مَنْ عَلَی الْأَرْضِ عَلَی أَمْرٍ وَاحِدٍ وَشَرِیعَةٍ وَاحِدَةٍ هَذَا لَا یُمْکِنُ أَبَداً إِلَّا بِطَبِیبٍ حَاذِقٍ کَامِلٍ مُؤَیَّدٍ لَعَمْرِي هَذَا لَهُوَ الْحَقُّ وَمَا بَعْدُهُ إِلَّا الضَّلَالُ الْمُبِینِ

حضرة بهاءالله

Ceci est un passage de la tablette de Baháʼuʼlláh à la reine Victoria, inclus dans la Súriy-i-Haykal. Cet extrait de la tablette fut traduit par Shoghi Effendi et publié dans Florilège des Écrits de Bahá’u’lláh CXX.

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